(24 octobre – Source : URPS Médecins)
Consultez la page Equipes mobiles covid
(23 décembre – dernière mise à jour 21/02/2021 – Source : ARS, URPS Médecins et centres de vaccination)
Attention, malgré la reprise des primovaccinations avec le Pfizer, le nombre de doses reste limité et les centres de vaccination fonctionnent au ralenti.
En attendant le déploiement de la vaccination via l’Astra Zeneca à compter du 25/02, certains centres de vaccination proposent de vacciner les professionnels de santé éligibles.
Vous êtes de nombreux médecins à être prêts à vous mobiliser pour pouvoir réaliser des vacations pour participer à la dynamique des centres de vaccination. Votre présence est indispensable pour leur bon fonctionnement, notamment pour les centres libéraux.
Que vous puissiez assurer quelques vacations ponctuelles ou que vous soyez disponibles sur une plus grand période, n’hésitez pas à vous faire connaître auprès du ou des centres de vaccination de votre choix afin de pouvoir être mobilisé.
Si vous n’êtes pas rapidement contactés, n’hésitez pas à nous contacter (alerte-medecinsliberaux@urpsml-hdf.fr ou au 03 20 14 93 30) pour que nous puissions rapidement vous proposer des vacations dans un centre de vaccination proche de chez vous.
Pour rappel, si vous êtes disponible sur une longue période (médecin retraité par exemple), vous pouvez vous inscrire sur la plateforme de mise en relation « RenfortRH » (Téléchargez la fiche « Utilisation de la plateforme Renfort RH« ).
Vous pouvez également compléter le tableau excel suivant de remontée des réquisitions à l’ARS (onglet 2) et le renvoyer à ars-hdf-volontaires@ars.sante.fr accompagné d’un RIB
Horaires de présence dans les centres : s’ils varient forcément en fonction des besoins de la planification des centres, il est important que les médecins libéraux ne soient pas la variable d’ajustement. Nous insistons surla nécessité que vous soyez pleinement intégrés au fonctionnement, que ce soit en termes de publics à vacciner que de créneaux proposés. Vous n’êtes pas là pour assurer uniquement les créneaux extrêmes (très tôt le matin, fin de journée ou WE), sauf si c’est votre souhait.
Il est important que vous soyez pleinement associé car il s’agit d’une collaboration ville/centres de vaccination.
N’hésitez pas à nous faire savoir si ces conditions n’étaient pas respectées à alerte-medecinsliberaux@urpsml-hdf.fr ou au 03 20 14 93 30.
Afin de préparer la vaccination à la covid-19 des publics prioritaires les plus vulnérables, notamment les structures médico-sociales non médicalisées, des renforts médicaux vont être nécessaires sur l’ensemble des Hauts-de-France. La mission consistera à recueillir les consentements et assurer la vaccination des publics prioritaires consentants au vaccin contre la covid-19.
En complément des centres de vaccination, nous vous proposons de continuer vous faire connaître si vous êtes volontaires pour participer à des séances de vaccination.
Cette mobilisation passera sûrement par une rémunération forfaitaire à la vacation dont le montant est fixé par l’assurance maladie à 420 € pour 4 heures. Il n’y aura pas d’actes.
(21 février 2021 – Source : ARS)
Comme énoncé lors du point précédent, des doses de vaccins Astra Zeneca ont été réservées pour permettre la vaccination de publics fragiles présents dans les FAM (foyers d’accueil médicalisé) et les MAS (maisons d’accueil spécialisé)
Suite à l’enquête initiée auprès des établissements par l’ARS, des FAM et MAS ont remonté des difficultés à mobiliser un médecin et/ou une IDE afin de procéder à la vaccination anti COVID par Astra Zeneca dans leur établissement.
Je vous transfère les demandes pour le Nord :
Après vérification il n’y a pas de demande pour le Pas-de-Calais et La Somme.
L’Aisne et l’Oise doivent faire parvenir leur observations rapidement.
En cas de difficultés, n’hésitez pas à nous en faire part : par mail en cliquant ici ou à l’adresse alerte-medecinsliberaux(at)urpsml-hdf.fr ou au 03 20 14 93 30.
(23 décembre – Source : Institut Pasteur de Lille)
L’Institut Pasteur de Lille vous propose de participer à son essai clinique Thérapide.
Cette étude clinique randomisée en double aveugle permettra d’évaluer l’efficacité d’un antiviral versus placebo dans la prise en charge précoce des patients de plus de 50 ans infectés par le virus SARS CoV2. L’efficacité sera évaluée sur l’incidence d’hospitalisation de ces patients.
L’institut Pasteur de Lille vous propose de participer à cette étude :
A l’issue du criblage systématique de plus de 2000 principes actifs de médicaments commercialisés dans le monde, les équipes basées à l’IPL ont découvert que le principe actif d’un médicament ancien inhibe la réplication de SARS CoV 2 dans des modèles cellulaires qui expriment les deux voies d’entrée du virus (voie lysosomale et voie TMPRSS2). Cette molécule protège également les épithéliums pulmonaires humains reconstitués à partir de biopsies cliniques. Ces effets sont exercés à une concentration facilement atteinte au site d’action, chez l’homme à la dose utilisée dans les conditions de l’autorisation de mise sur le marché.
Sur l’ensemble des données scientifiques disponibles sur la prise en charge thérapeutique de la COVID19, les scientifiques s’accordent à dire que le bénéfice clinique est d’autant plus important que la molécule antivirale agit précocement dans la phase initiale de multiplication virale.
Notre protocole vise donc à inclure 500 patients COVID19 (i.e. diagnostic positif en PCR ou par test antigénique) dans les 72 h qui suivent les premiers symptômes cliniques. Le critère de jugement principal sera l’échec du traitement, qui sera mesuré par l’occurrence, soit d’une hospitalisation pendant la période de 22 j qui suivent l’initialisation du traitement, soit une baisse de la SPO2 sous le seuil de 93%, soit un maintien du score de symptômes au-dessus de 50% de son point de départ. Le critère secondaire sera virologique (suivi de la baisse de la charge virales par 2 ou 3 mesures de PCR quantitative à j0, J4 et J10).
Une campagne de communication alertera la population de l’existence de l’essai et de l’importance de se faire tester dès les premiers symptômes, pour éviter de contaminer son entourage, mais aussi pour être éligible à l’essai thérapeutique.
La mise en œuvre de l’essai est prévue en janvier/février. Pour les patients qui seront inclus, il existe un bénéfice direct de l’essai lié à un suivi médical renforcé à domicile, des appels téléphonique fréquents et la mise à disposition d’un oxymètre SP02 pour une mesure de saturation quotidienne, dont il a été démontré l’intérêt pour détecter l’aggravation en moyenne 7 jours avant l’hospitalisation.
Le protocole de suivi inclut :
Il s’agit d’un essai en double aveugle contre placebo prévoyant d’inclure 530 patients.
Périmètre géographique : pour l’instant limité à la métropole lilloise, il pourrait s’étendre au Nord en cas de difficultés d’inclusion, les équipes de recherches étant basées sur Lille.
(23 décembre – Source : CH Lille/Tourcoing et URPS ML)
En ville, des patients infectés par le SARS-COV-2 se plaignent de la persistance ou de la réapparition de symptômes associés à cette infection. L’objectif du travail est de décrire les différentes formes cliniques de COVID-19 persistantes à un instant donné, au décours de la seconde vague de l’épidémie liée au COVID-19.
Le projet COCOVILATE a pour objectif de réaliser une étude quantitative transversale en médecine de ville concernant des patients présentant des symptômes persistant et/ou récurent après une infection par le SARS-COV-2 qui seront comparés à des individus ayant fait une forme courte d’infection par la COVID-19.
Pour participer à l’étude, au moins 4 patients par médecin généraliste devront être inclus (2 covid positifs et 2 non covid). Aucun suivi ne vous sera demandé. Une indemnisation vous sera proposée.
Si vous êtes intéressé(e) pour participer, merci de vous faire connaître au 03 20 14 93 30 ou à alerte-medecinsliberaux@urpsml-hdf.fr.
Pour confirmer votre participation, vous êtes invité à une soirée de présentation de l’étude proposée par les Drs Robineau (CH de Tourcoing, promoteur de l’étude) et Panaget (infectiologue au Service de Maladies Infectieuses et Tropicales du CHRU de Lille), qui vous permettra ainsi de vous familiariser avec les critères d’inclusion, de non inclusion ainsi que les outils de reporting demandés le jeudi 04/02/2020 à 20h30.
N’hésitez pas à vous inscrire via le lien suivant : https://app.livestorm.co/urps-ml-hdf/cocovilate
(18 octobre – Source : ARS)
Dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19, le Service de Veille Sanitaire souhaite renforcer son équipe pluridisciplinaire spécialisée et dédiée à la gestion et à la réponse aux signaux et alertes.
Les missions de veille sanitaire visent à détecter le plus précocement possible tout événement anormal présentant un risque potentiel pour la santé de groupes de population, essentiellement dans les domaines des maladies transmissibles et de l’exposition à des agents toxiques environnementaux.
Dans le contexte actuel de Covid-19, afin d’empêcher une résurgence de l’épidémie lors du déconfinement, une stratégie du « tester, tracer, isoler » est mise en place.
Lors de l’identification de cas groupés (« cluster ») ou de la survenue de cas de Covid-19 au sein d’une collectivité à risque, la recherche de ses contacts (« contact tracing ») est effectuée par les ARS au sein du service de la Veille sanitaire.
Profil recherché :
Toute personne volontaire et ayant une forte disponibilité (week-end inclus) : Étudiants en médecine ayant finalisé leur cursus universitaire ; médecins remplaçants ; etc.
Conditions :
CDD de droit public
Début : dès que possible ; Fin : 31 décembre 2020
Rémunération : CATEGORIE A – Tracing profil médical : 3700 € mensuels bruts, hors astreintes.
Lieu d’exercice : ARS Lille ou ARS Amiens
(26 septembre)
Depuis le début de la crise de la covid-19, l’URPS Médecins, met en œuvre ses missions de veille et de gestion de crise sanitaire :
Pour l’ensemble de ces besoins, nous sollicitons donc régulièrement les médecins libéraux des Hauts-de-France, ces derniers étant tous membres de l’Union.
Cependant, comme les médecins remplaçants ne cotisent pas à l’URPS Médecin Libéraux, nous n’avons pas accès à leurs coordonnées et il nous est compliqué pour le moment de les mobiliser sur ces interventions ponctuelles, bien qu’ils soient souvent intéressés lorsqu’ils en ont connaissance.
Nous menons actuellement une campagne de communication afin que les remplaçants puissent se faire connaître auprès de nous et que nous puissions les solliciter directement. Ces coordonnées resteront confidentielles à l’usage exclusif de l’URPS Médecins et la mise à disposition de ces ressources est totalement gratuite.
Si vous êtes remplaçant(e) et intéressé(e), n’hésitez pas à nous le faire savoir par mail à l’adresse : alerte-medecinsliberaux(at)urpsml-hdf.fr
Afin de faciliter le traitement par nos services, vous pouvez copier-coller le paragraphe ci-dessous, et le compléter dans le corps du mail :
Cette inscription permet également de recevoir les informations envoyées par l’Union à savoir :
(3 octobre – Source : INSERM)
L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) invite à partir de jeudi 1er octobre tous les Français qui voudraient aider la recherche et qui sont prêts à tester l’un des projets de vaccin contre le coronavirus Covid-19 à se faire connaître. L’Institut national de la santé et de la recherche médicale espère pouvoir réunir 25 000 volontaires en France.
Tous les majeurs peuvent être candidats.
Les volontaires peuvent s’inscrire sur la plate-forme https://www.covireivac.fr/, d’ores et déjà accessible. L’objectif est que la France puisse tester dans les prochaines semaines un ou plusieurs des 300 projets de vaccin développés dans le monde. Il y a besoin pour certains d’entre eux de dizaines de milliers de volontaires partout dans le monde.
(26 septembre – Source : CHRU Lille)
Dans le cadre de son surcroît d’activités lié à la gestion de la crise sanitaire liée à la covid-19, le Centre Ambulatoire des Maladies Infectieuses (CAMI) de Lille est à la recherche d’un renfort de temps médical de médecin généraliste temps plein (découpable en plusieurs temps partiels), pour 6 mois dont voici les conditions :
Contacts :
(28 juin – Source ARS)
Nous faisons le relais auprès de l’ARS pour que la médecine libérale garde une place dans la mise en place de ces dépistages organisés.
Pour ce faire, nous avons besoin de médecins volontaires pour participer aux séances de dépistage.
Si vous pouvez vous rendre disponible, que vous soyez médecin installé ou médecin remplaçant, n’hésitez pas à vous faire connaître auprès de nous à alerte-medecinsliberaux@urpsml-hdf.fr ou au 03 20 14 93 30. Nous vous contacterons dès qu’un dépistage se déroulera à proximité de votre lieu d’exercice. Merci pour votre participation !
(21 juin Source : Société Française de Santé Publique – SFSP)
Dans le cadre de la gestion de l’épidémie de Covid-19 et plus particulièrement des clusters, le Centre de crise sanitaire du ministère chargé de la Santé souhaite constituer des équipes nationales mobiles d’intervention pour appuyer les ARS dans leur mission de contact-tracing.
Les principales missions de ces équipes nationales mobiles d’intervention seront les suivantes :
Pour répondre à ces missions le centre de crise sanitaire recherche les profils suivants : épidémiologistes, médecins, infirmiers, hygiénistes, qualiticiens, logisticiens et personnels administratifs.
Les professionnels qui constitueront ces équipes seront susceptibles d’être mobilisés à la demande du Ministère pour des missions de plusieurs jours au sein de leur région ou en renfort d’une autre région.
Ces professionnels seront intégrés dans la réserve sanitaire afin de disposer de la couverture juridique et de la grille indemnitaire propre aux réservistes.
Si vous êtes volontaires, nous vous remercions de bien vouloir remplir avant le 30 juin le formulaire disponible à l’adresse suivante
Pour toute question, vous pouvez adresser un courriel à l’adresse : ccs-pole-ressources-humaines@sante.gouv.fr
(12 mai)
Dans le cadre du processus de tracing, l’Agence Régionale de Santé, en lien avec les cellules régionales de Santé Publique France sera chargée de l’identification des chaînes de transmission et des clusters localisés et de la gestion des situations complexes, dans certaines collectivités notamment (écoles, EHPAD, établissements pénitentiaires).
Si besoin, l’ARS déploiera de moyens d’investigations sur le terrain et organisera des campagnes de dépistages ciblés. Des équipes d’enquêteurs sanitaires sont en cours de constitution dans chaque département et pourraient être composées d’1 médecin ARS, 1 infectiologue, 1 épidémiologiste, 1 hygiéniste/CEPIAS, 1 généraliste ou 1 hospitalier, 1 infirmier, 1 administratif.
Au vu de votre connaissance précieuse du terrain, il est envisagé de s’entourer de médecins généralistes volontaires ayant une appétence/expérience en matière de santé publique/veille/épidémiologie etc. et habitués à gérer une crise sanitaire.
Ces médecins devront pouvoir se rendre disponibles du jour au lendemain pour aller investiguer des clusters ou collectivités.
Si vous êtes intéressé(e), n’hésitez pas à vous faire connaître en nous envoyant un mail à l’adresse mail alerte-medecinsliberaux(alt)urpsml-hdf.fr ou en cliquant ici.
(12 mai)
L’URPS ML et l’ARS envisagent de mettre en place un réseau de médecins vigies dans le contexte de l’épidémie COVID afin que les signaux perçus par la médecine de ville puissent être transmis aux services de veille sanitaire dans la région, en parallèle des données transmises par les établissements de santé. A ce jour, les modalités pratiques ne sont pas encore définies mais le souhait est d’avoir une représentation qualitative des 5 départements de la région afin de pouvoir déclencher, si besoin, des investigations complémentaires par les services de l’ARS.
Si vous êtes intéressé(e), n’hésitez pas à vous faire connaître en nous envoyant un mail à l’adresse mail alerte-medecinsliberaux(alt)urpsml-hdf.fr ou en cliquant ici.
Deux hôtels situés à Bruay et Etaples ont été transformés en centre d’accueil pour accueillir les voyageurs concernés par le prélèvement RT PCR au retour de certaines destinations ayant refusé la réalisation du prélèvement et pour lesquels le Préfet aura décidé une mesure de quarantaine et les patients atteints du covid-19 ou « personnes contacts » sur orientation de leur médecin traitant en lien avec les cellules territoriales d’appui mises en œuvre dans chaque département.
Exceptionnellement, pourront se voir proposer d’effectuer l’isolement hors du domicile des malades du covid confirmés par test RT-PCR ou des personnes contacts de malades du covid, testés négativement et dont la composition du foyer n’est pas compatible avec l’isolement à domicile ou la quatorzaine à domicile du fait notamment de :
Ces patients relèvent d’un suivi ambulatoire classique et ne présentent pas de surrisque et leur suivi sera dans la mesure du possible assuré par leur médecin traitant, à l’exception des personnes qui n’ont pas de médecin traitant, ou des patients dont le médecin traitant préfère confier le suivi à l’organisation du site d’hébergement, après échange avec le médecin renfort COVID hôtelier.
Le médecin renfort covid hôtelier aura notamment pour missions, en lien avec les IDEL mobilisées sur site et à distance, et en lien avec le responsable de la gestion de la structure d’hébergement :
Dans le cadre de cette intervention temporaire, le médecin renfort covid hôtelier sera réquisitionné volontaire ce qui permet d’assurer une protection assurantielle du professionnel et sa rémunération (75€ de l’heure).
Si vous êtes intéressé(e), n’hésitez pas à vous faire connaître en nous envoyant un mail à l’adresse mail alerte-medecinsliberaux@urpsml-hdf.fr.
(6 avril – Source : ARS Hauts-de-France)
Afin de faciliter la mise en lien entre les médecins libéraux volontaires et les structures demandeuses, l’ARS Hauts-de-France a mis en ligne une plateforme «renforts-covid.fr» (constituant un lien vers le téléchargement d’une application gratuite).
Le principe est simple et bien connu des plateformes numériques, celui du « matching », c’est-à-dire mettre en relation des personnes volontaires et des établissements via la collecte d’informations :
Grâce à cette plateforme les médecins volontaires pourront proposer leurs services aux structures qui en exprimeront le besoin (voir le fonctionnement du service).
Dans le cadre de cette mobilisation volontaire, la réquisition pourra être envisagée pour faciliter l’organisation de ces renforts.
L’arrêté ministériel du 28 mars 2020 définit les conditions selon lesquelles peuvent être réquisitionnés et les professionnels de santé en exercice, retraités ou en cours de formation dans le cadre de l’épidémie covid-19 et les barèmes d’indemnisation. Dans ces conditions, les volontaires correspondant à ces profils peuvent demander à être réquisitionnés, et ce dès la mise en relation entre le professionnel volontaire et la structure d’accueil.
En complément de la plateforme digitale, l’URPS Médecins Libéraux poursuit le recensement de médecins libéraux (généralistes et spécialistes) qui souhaitent apporter leur soutien, pour d’autres situations :
Si vous êtes volontaire et que vous souhaitez apporter votre aide,
Ou bien si vous êtes concerné(s) par l’une de ces situations,
N’hésitez pas à nous le faire savoir par mail à l’adresse : alerte-medecinsliberaux(alt)urpsml-hdf.fr
Pour les volontaires, afin de faciliter le traitement des requêtes, vous pouvez copier-coller le paragraphe ci-dessous, et le compléter dans le corps du mail :
Consulter la page EHPAD
10 juillet – Source Assurance Maladie (DCGDR)
La plateforme Medgo utilisée pour les réquisitions prendra fin le 10/07. Un relais sera pris par une plateforme nationale.
La loi de sortie de l’état d’urgence qui devrait être prochainement promulguée devrait conserver la possibilité de la réquisition, à confirmer pour les renforts de personnel EHPAD, mais avec une quasi-certitude pour les dispositifs particuliers type hôtel.
En cas de demande de soutien/renfort pour un EHPAD, il s’agira dorénavant d’identifier s’il s’agit d’un cluster ou s’il s’agit d’une anticipation classique de congés/absences prévisibles. Dans le 1er cas, un soutien pourrait être possible, pas dans le second.
Consulter la page EHPAD