(11/12/2021 – Source : Ministère)
Par DGS du 09/12/2021, il est précisé que La 5ème vague de Covid-19 a débuté et la dynamique épidémique est défavorable, avec une forte hausse de tous les indicateurs.
Malgré un taux élevé de vaccination, la situation est déjà difficile dans la plupart des régions et établissements, avec des perspectives d’évolution négative dans les prochains jours et prochaines semaines.
Il apparaît donc nécessaire d’augmenter les capacités de prise en charge de patients en soins critiques et en médecine pour faire face à l’augmentation attendue de l’afflux de patients dans les jours et semaines à venir. Cette démarche sera coordonnée et territorialisée au regard de la circulation des virus et de la pression induite sur le système hospitalier.
Elle repose notamment sur trois stratégies complémentaires déjà éprouvées :
Pour les établissements de santé privés contraints en conséquence, de nouveau, de déprogrammer les soins dits « non urgents », conduisant ainsi à une baisse d’activité marquée de certains médecins intervenant dans ces établissements, un nouveau dispositif exceptionnel d’accompagnement économique des médecins conventionnés affectés par la répétition des déprogrammations sera mis en place.
Ce point sera également mis en discussion lors de nos réunions avec l’ARS Hauts-de-France. Nous ne manquerons pas de vous informer des informations spécifiques le cas échéant.
(29/05/2021 – Source : Assurance Maladie)
La crise sanitaire a entraîné une dégradation de l’état de la santé mentale et psychologique de la population française, avec des signaux particulièrement préoccupants chez les enfants et adolescents. C’est la raison pour laquelle le Ministère des Solidarités et de la santé et l’Assurance Maladie lancent, à partir de début juin 2021, le dispositif de soutien psychologique d’urgence PsyEnfantAdo.
Ce dispositif s’adresse aux enfants et aux jeunes de 3 à 17 ans inclus en souffrance psychologique d’intensité légère à modérée. Il prévoit une prise en charge psychologique adaptée aux besoins de l’enfant ou du jeune, réalisée par un psychologue clinicien conventionné avec l’Assurance Maladie, dans la limite de 10 séances. Une prescription médicale est nécessaire, l’ordonnance pouvant être établie jusqu’au 31 octobre 2021. Les séances seront prises en charge à 100 % par l’Assurance Maladie, sans avance de frais pour les familles. La liste des psychologues agréés dans le dispositif sera disponible début juin sur la plateforme https://psyenfantado.sante.gouv.fr.
Le dispositif concerne :
Important : en cas de troubles plus sévères, de situations évoquant des troubles graves du comportement ou de l’humeur, les enfants et adolescents doivent être orientés sans délai vers un psychiatre ou un pédopsychiatre ou une structure spécialisée pour une consultation et une prise en charge adéquate (centre médico-psychologique, maison des adolescents…).
Dans le cadre de ce dispositif, le médecin (qu’il soit généraliste, pédiatre, psychiatre, pédopsychiatre, hospitalier, médecin scolaire, médecin de protection maternelle et infantile…) adresse l’enfant ou l’adolescent à un psychologue clinicien conventionné avec l’Assurance Maladie, à l’aide d’une prescription de séances de soutien psychologique et, si besoin, d’un courrier d’accompagnement.
Ce dispositif permet la prise en charge à 100 % d’un entretien initial d’évaluation et de 1 à 9 séances d’accompagnement psychologique de soutien.
Le médecin pourra orienter les enfants et adolescents vers un psychologue du dispositif jusqu’au 31 octobre 2021 (date indiquée sur l’ordonnance). Les séances, elles, pourront être réalisées jusqu’au 31 janvier 2022.
Le consentement des détenteurs de l’autorité parentale est nécessaire pour engager un parcours de soins pour l’enfant ou l’adolescent et permettre le partage, entre les acteurs de ce parcours qui ont vocation à en connaître, des informations relatives à sa prise en charge en santé mentale.
L’enfant ou l’adolescent et sa famille choisissent le psychologue réalisant la prise en charge. Le médecin peut aider la famille dans ce choix.
La liste des psychologues agréés dans le dispositif sera disponible début juin sur la plateforme https://psyenfantado.sante.gouv.fr. Cette plateforme mettra à jour régulièrement la liste des psychologues participant au dispositif. Elle permet aussi aux psychologues volontaires de candidater pour y prendre part.
Pour ce faire, les psychologues cliniciens libéraux ou en activité mixte doivent :
Après accord du titulaire de l’autorité parentale, le psychologue transmet au médecin qui suit l’enfant habituellement le compte-rendu de l’entretien initial d’évaluation ainsi qu’un compte-rendu de fin de prise en charge. Les coordonnées du médecin sont fournies par la famille.
En cas de question supplémentaire sur la plateforme https://psyenfantado.sante.gouv.fr, un message peut-être envoyé à PsyEnfantAdo@sante.gouv.fr.
En date du 10/02/2021, la HAS a réalisé des réponses rapides à destination des professionnels de santé, et principalement à ceux qui interviennent en premier recours, pour la prise en charge et l’orientation des patients qui présentent des symptômes prolongés suite à une Covid-19.
La Covid-19 est une maladie d’expression polymorphe, tant par sa présentation clinique que par sa gravité et sa durée.
Dès la fin de la première vague épidémique en mai 2020, la persistance de symptômes plusieurs semaines ou mois après les premières manifestations, a été décrite chez plus de 20 % des patients après 5 semaines et plus et chez plus de 10 % des patients après 3 mois.
Le caractère polysymptomatologique et fluctuant de ces manifestations cliniques génère des interrogations et des inquiétudes pour les patients et les cliniciens.
L’histoire naturelle de cette maladie n’est pas connue. Les données évolutives sont encore rares et les mécanismes physiopathologiques sont au stade d’hypothèses. Le terme « COVID-long » a été utilisé par les patients puis repris dans la littérature pour qualifier ce phénomène. En l’absence de données physiopathologiques et épidémiologiques précises, ce texte utilise la notion plus large de symptômes prolongés suite à une Covid-19.
Une démarche pragmatique, rationnelle et scientifique de prise en charge de ces patients, dans le cadre d’une décision médicale partagée, pouvant être multidisciplinaire est nécessaire.
La prise en charge de ces symptômes peut être réalisée en soins primaires dans la grande majorité des cas. Un certain nombre d’examens complémentaires peuvent être utiles.
L’escalade des prescriptions d’examens complémentaires non pertinents est à éviter.
Ce document a pour objet de définir la prise en charge de premier recours des patients adultes présentant des symptômes prolongés. Les fiches techniques associées permettent de proposer les explorations cliniques et paracliniques nécessaires en premier recours selon les atteintes d’organe et/ou les symptômes présentés. Elles permettent également d’identifier les situations d’urgence et les situations qui nécessitent un recours spécialisé.
Ce document est composé de 2 parties :
La crise de Covid-19 a eu un impact majeur sur les inégalités sociales (ISS) et territoriales de santé (ITS). Certains effets sont de nature infectieuse, en lien direct avec le virus : surmortalité dans les territoires les plus pauvres, séroprévalence, incidence. D’autres sont indirects, à l’origine d’une crise sanitaire globale: santé mentale, violences intra-familiales, sédentarité, insécurité et comportements alimentaires, retentissement scolaire.
Les effets économiques multiples, pauvreté, chômage ou encore la scolarisation sont porteurs de retentissements sur la santé à long terme. Les difficultés d’accès aux soins, des déprogrammations auront des conséquences variables selon les groupes sociaux et les territoires.
L’analyse des recommandations sanitaires pendant la crise montre cependant que les ISS et les ITS ont rarement été évoquées et n’ont pas fait l’objet de recommandations explicites, en contraste avec la priorité affichée dans la Stratégie nationale de santé. L’universalisme proportionné, comme réponse à un gradient social de santé n’a pas été pris en compte. En revanche, les associations et les collectivités territoriales, les politiques nationales et la protection sociale ont probablement été efficaces pour limiter le creusement des ISS.
L’appareil statistique n’était pas préparé à suivre l’évolution des ISS et ITS. L’effort de recherche a été considérable mais ne peut permettre un pilotage des politiques. La démocratie sanitaire a été mise à rude épreuve, qu’il s’agisse des parlementaires ou des citoyens. Le HCSP fait 22 recommandations pour la prise en compte effective des ISS et des ITS en période de crise qui a un caractère global, et qu’il importe de préparer par une politique sanitaire dans le long terme.
Avis relatif à la crise sanitaire de Covid-19 et inégalités sociales de santé (22 juillet 2021)
+ Communiqué de presse
L’observatoire des non-recours aux droits et services (Odenore), qui est un dispositif de recherche du laboratoire de sciences sociales Pacte du CNRS et de l’université Grenoble-Alpes, et l’Assurance Maladie ont lancé une enquête afin d’estimer l’ampleur, la nature, les causes et conséquences des non-réalisations de soins pendant la première période de confinement.
Les premiers résultats de l’enquête montrent que 60 % des personnes interrogées disent ne pas avoir réalisé à leur initiative, pendant le premier confinement, au moins un soin dont elles avaient besoin. Parmi les personnes qui n’ont pas consulté de médecin généraliste pendant le 1er confinement malgré un besoin, une nette majorité (68 %) dit avoir consulté à l’issue du 1er confinement. Il ressort de cette étude un renoncement «définitif» assez faible (entre 2 % et 7 % selon le type de besoin de soins). La plupart des personnes qui n’ont toujours pas réalisé la consultation ou l’acte au moment de l’enquête garde l’intention de le faire.
Tous types de soins confondus, les raisons qui ont le plus amené les personnes à ne pas se soigner alors qu’elles auraient eu besoin de le faire sont la fermeture des cabinets et structures de soins, une appréhension de la contamination, une temporisation de leur demande de soin, ainsi qu’une volonté de ne pas surcharger les professionnels de la santé pendant cette période. Cette dernière raison est la plus citée par les personnes qui ont renoncé à consulter un généraliste durant le confinement (37 % d’entre elles) alors que la raison principale de la non-réalisation de soins dentaires et spécialisés est relative à la fermeture des cabinets et structures de soins (59 % des soins dentaires et 36 % des consultations chez des spécialistes).
Voir l’étude complète.
Méthodologie de l’enquête
L’enquête a été effectuée en ligne. Le questionnaire a été ouvert du 24 juillet au 23 septembre 2020 et a été porté à la connaissance du public par différents relais (mailing, réseaux sociaux…). Plus de 7 000 personnes ont répondu à cette enquête. 4 236 questionnaires ont été complétés en totalité. En savoir plus sur le site de l’Odenore.
Le 27/01/2021, France Assos Santé Hauts-de-France a rendu public son Sondage Viavoice pour France Assos Santé Hauts-de-France.
Deux points majeurs :
Le communiqué est en ligne sur leur site internet ainsi que l’intégralité du sondage.
Le ministère des solidarités et de la santé, en collaboration avec plusieurs médecins des spécialités les plus concernées et en co-construction avec les conseils nationaux professionnels (CNP), les sociétés savantes, le CNUH et les ARS, a travaillé sur un corpus de recommandations intégrant également les avis les plus récents de la Haute autorité de santé (HAS) et du Haut conseil de la santé publique (HCSP).
L’ensemble de ces recommandations a vocation à anticiper un éventuel dépassement du capacitaire disponible en soins critiques en maintenant l’égalité d’accès à un juste soin et en favorisant les alternatives à l’hospitalisation, à travers la mise à disposition de propositions d’organisation et d’outils pratiques dans un contexte de reprise épidémique.
Pour ce faire, la stratégie proposée repose à la fois sur le renforcement de tous les leviers de prise en charge en amont de l’hôpital et en alternative à celui-ci afin d’éviter toute hospitalisation lorsque c’est possible dans un contexte de forte tension du système hospitalier ; et sur la fluidification des parcours hospitaliers des patients en renforçant l’articulation entre la médecine de ville, la régulation médicale et les services d’urgence, l’hospitalisation conventionnelle, les soins critiques et les soins de suite et de réadaptation.
Ces deux axes combinés doivent permettre au système de santé de préserver son capacitaire en hospitalisation conventionnelle, notamment pour les soins urgents et non-programmés, et de mieux répartir la charge en soins entre unités de niveaux adaptés.
Consultez la page Prise en charge des patients covid
Consultez la page Pédiatrie
Consultez la page Cardiologie
Consultez la page Neurologie
Consultez la page Maladies infectieuses
Les personnes atteintes de maladies chroniques sont plus exposées à des formes graves d’infection Covid-19 (HCSP, 2020). Dans ce contexte épidémique, ces personnes sont aussi plus à risque d’aggravation/de déstabilisation de leur maladie chronique du fait d’une moindre surveillance, en raison des mesures de confinement, de limitation des déplacements pour des consultations médicales en présentiel, réservées au cas les plus urgents.
Le risque de rupture de la prise en charge des patients fragiles est réel.
Ces préconisations portent sur le suivi des personnes non symptomatiques de Covid-19, atteintes de maladies rhumatologiques chroniques.
L’essentiel :
Ces réponses rapides, élaborées sur la base des connaissances disponibles à la date de publication de cet avis, sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
Consultez la page Grossesse
Le 27/11, la HAS a actualisé ses réponses rapides portent sur les conditions et l’organisation du retour à domicile des mères et de leurs enfants dans ce contexte, et sur la gestion des cas du retour à domicile de femmes atteintes de COVID-19 (sans signes de gravité) et de leur nouveau-né. Elles concernent également le maintien d’activités relatives au suivi gynécologique et de prévention à distance de la naissance.
L’essentiel :
Ces réponses rapides élaborées sur la base des connaissances disponibles à la date de leur publication sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
Ces réponses rapides sont fondées sur ce qui apparaît souhaitable ou nécessaire au moment où elles sont formulées. Elles ne prennent pas en compte les capacités d’approvisionnement en équipements de protection individuelle.
Dans le contexte épidémique vis-à-vis du Covid-19, la HAS a élaboré des recommandations générales destinées à assurer la continuité de prise en charge des patients souffrant de maladies chroniques somatiques ou psychiatriques en période épidémique.
De façon générale, les personnes atteintes de maladies chroniques sont plus exposées à des formes graves d’infection Covid-19. Ces personnes sont aussi plus à risque d’aggravation/de déstabilisation de leur maladie chronique du fait d’une moindre surveillance, en raison des mesures liées au confinement puis à sa levée, et de limitation des déplacements pour des consultations médicales en présentiel.
Par ailleurs, des questions ont été soulevées par des scientifiques concernant le risque que des traitements antihypertenseurs (IEC et ARA2) puissent avoir un impact sur l’évolution de l’infection Covid-19.
Ces réponses rapides portent sur le suivi, pendant la période épidémique, des personnes non symptomatiques du Covid-19, atteintes d’hypertension artérielle.
L’essentiel :
Ces réponses rapides sont destinées aux soignants qui assurent le suivi, pendant la période épidémique, des patients atteints d’hypertension artérielle non compliquée.
En cas de complication de l’HTA : se reporter à la Fiche « Réponse Rapide » spécifique.
Ces réponses rapides, élaborées sur la base des connaissances disponibles à la date de publication de cet avis, sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
L’essentiel :
Cette fiche concerne l’accompagnement des patients adultes atteints de maladies chroniques somatiques (hors Ehpad et autres ESMS) pendant la circulation active du SARS-CoV-2. Il est rappelé que le suivi des patients est assuré par l’ensemble des professionnels de santé et coordonné par le médecin traitant.
Ces réponses rapides, élaborées sur la base des connaissances disponibles à la date de publication de cet avis, sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
Consultez la page Télésanté
Le 19/11, la HAS a synthétisé les principales mesures pour prévenir la transmission du SARS-CoV2 à appliquer par les professionnels de santé lors de la prise en charge des patients hors établissements de santé et médico-sociaux. Il est à adapter au contexte et notamment aux consignes sanitaires nationales, régionales ou locales.
L’essentiel :
Ces réponses rapides, élaborées sur la base des connaissances disponibles à la date de publication de cet avis, sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
Ces réponses rapides, élaborées sur la base des connaissances disponibles à la date de publication de cet avis, sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
Consultez la page Oncologie
Consultez la page ORL
(13 août – Source : Assurance Maladie)
(7 août – Source : Assurance Maladie)
Jusqu’au 30 octobre 2020, les infirmiers libéraux ont l’autorisation d’effectuer les soins à domicile sans mention spécifique figurant sur la prescription médicale. Tous les soins sont concernés par cette mesure dérogatoire.
(29 avril)
(Source HAS, 16/04/2020)
Téléchargez la fiche complète de la HAS
Les patients qui ont développé une forme sévère de COVID-19 et sortent d’hospitalisation en soins aigus, notamment après un passage en réanimation, sont très amaigris et affaiblis. Ils ont besoin d’une rééducation et d’une réadaptation adaptées pour se rétablir pleinement. La HAS a publié une Réponse rapide pour préciser l’intervention des rééducateurs auprès de ces patients, de manière sécurisée, à l’hôpital ou à domicile. Ce document a été réalisé en collaboration avec le CNP de MPR (Conseil National Professionnel de Médecine Physique et de Réadaptation) et la SOFMER (Société Française de Médecine Physique et de Réadaptation).
Ces réponses rapides élaborées sur la base des connaissances disponibles en date du 16/04/2020 sont susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données.
1 : MET : (Metabolic Equivalent of Task, équivalent métabolique), expression de l’intensité d’une activité physique le plus souvent exprimée en MET défini comme le rapport de la dépense énergétique liée à l’activité physique sur le métabolisme de base. 1 MET correspond au niveau de dépense énergétique au repos, assis sur une chaise (3.5ml02/mn/kg).
(31 mars)
Téléchargez le communiqué de presse commun URPS Médecins Libéraux HDF / France Assis Santé HDF
Nous nous inquiétons d’une sous-activités de beaucoup de cabinets médicaux, vraisemblablement parce que nos patients n’osent pas nous appeler et risquent de passer à côté de pathologies qui pourraient s’avérer très graves…
Les établissements de santé commencent à voir des appendicites au stade de péritonite, des infarctus ou des AVC pris en charge trop tardivement etc.
L’URPS Médecins et France Assos Santé Hauts-de-France ont lancé aujourd’hui un appel : « Ne confondez pas renoncement aux soins et report de soins … Contactez votre médecin afin d’obtenir un avis médical » (voir communiqué de presse complet en pièce jointe).
Le message est clair « n’hésitez pas, appelez vos médecins habituels, vous ne les dérangerez pas, ils sont là pour ça ! ».
Nous espérons être entendus pour limiter les pertes de chance des personnes souffrant d’autres pathologies que celles liées au covid, qu’elles soient chroniques ou non.