(13/11/2021 – Source : Santé Publique France)
Paru hier dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), rédigé par Santé publique France – national, voici un article portant sur la « couverture vaccinale contre la Covid-19 et impact sur la dynamique de l’épidémie » :
Neuf mois après le lancement de la campagne vaccinale contre la Covid-19 en France, plus de 50 millions de personnes ont été vaccinées. Au 17 octobre 2021, 76% de la population a reçu au moins une première dose de vaccin et 74% est complètement primovaccinée. Les couvertures vaccinales (CV) varient notamment en fonction de l’âge et des départements. Les CV sont particulièrement basses dans les départements d’outre-mer.
Au 17 octobre 2021, les CV correspondant aux personnes ayant reçu au moins une dose et celles ayant reçu une primovaccination complète étaient respectivement de 94 et 92% pour les résidents en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) ou dans les unités de soins de longue durée (USLD), de 96 et 96% pour les soignants libéraux, 91 et 90% pour les professionnels exerçant en Ehpad, ainsi que pour les soignants salariés.
La vaccination contre la Covid-19 a eu un impact important sur l’épidémie, notamment pour les personnes éligibles en priorité. Dès la 3e vague épidémique (mars à mai 2021), les nombres hebdomadaires de cas et de décès liés à la Covid-19 ont pu être réduits de près de 90% pour les résidents en Ehpad, en comparaison avec la seconde vague, et le nombre hebdomadaire d’hospitalisations de 30% pour les personnes de 75 ans et plus.
Lors de la 4e vague (de mi-juillet à mi-octobre 2021), les nombres hebdomadaires moyen de cas et de décès ont été réduits de 94 et 96% pour les résidents en Ehpad en comparaison à la seconde vague, de 80% pour les personnes de 75 ans et plus. Les hospitalisations ont été réduites de 68% et les décès de 54% chez les 50 à 64 ans et les hospitalisations de 24% chez les 18 à 49 ans.
Ces résultats soulignent l’efficacité de la stratégie d’introduction rapide de la vaccination Covid-19 en ciblant en priorité les personnes les plus à risque.
L’article est également disponible en ligne à cette adresse : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2021/Cov_12/pdf/2021_Cov_12_1.pdf
(04/07/2021 – Source : Assurance Maladie)
Depuis le 28/05/2021, l’Assurance Maladie met à disposition un ensemble de données sur le déploiement de la vaccination contre la Covid-19 en France via le site Data vaccin Covid, pour améliorer les connaissances sur la couverture vaccinale contre la Covid-19 de la population. Ces données sont anonymes et issues des bases informatiques de l’Assurance Maladie, complétées de données de référence (source Insee).
Avec la rubrique “Représentations graphiques”, il est possible de visualiser une synthèse des informations au niveau national puis d’approfondir selon différents axes : le département de résidence des patients (éventuellement différent du département de vaccination), l’établissement public de coopération intercommunale (EPCI) de résidence, l’âge, le type de vaccin administré, la phase du cycle vaccinal (au moins une injection ou vaccination terminée), les pathologies, le lieu de vaccination, le type de professionnel de santé réalisant l’injection…
L’ensemble des données est disponible en open data dans la rubrique “Données complètes”. Il est possible de les filtrer et de les télécharger, de créer ses propres visuels ou encore d’utiliser les API pour créer de nouveaux usages. C’est aussi la rubrique à consulter pour en savoir plus sur les bases de données utilisées, la méthodologie employée et les points d’attention à connaître pour bien interpréter les résultats.
Ces données seront actualisées en continu et seront enrichies dans les prochaines semaines. Elles sont complémentaires à celles publiées par Santé Publique France.
Début juillet, le site s’enrichit de 2 actualisations majeures :
Cette évolution va permettre aux acteurs de la campagne de vaccination d’avoir une vision la plus précise possible des catégories de population non vaccinées et pour lesquelles il est important de concentrer les efforts en matière de sensibilisation et d’accompagnement.
(17/07/2021 – Source : HAS)
(Mise à jour 13/11/2021 – Source : ARS)
Au 15/07/2021, la Haute Autorité de Santé (HAS) a mis à jour son document « Covid-19 : quel test faire ? » pour permettre au public de s’y repérer dans l’ensemble des tests à disposition.
Il nous donne l’occasion de refaire le point sur la réalisation de test en période de campagne vaccinale covid-19.
Consultez la page avant la vaccination
Les tests sérologiques réalisés en laboratoire de ville ne sont pas adaptés pour savoir si vous êtes protégé contre le virus, après une infection ou après la vaccination. C’est la raison pour laquelle ils ne sont pas recommandés, à ce jour.
Comment expliquer que les TROD sensés détecter la présence d’IGM et ou d’IGG soient négatifs malgré deux vaccinations ?
Thomas Huleux, infectiologue de l’ARS, a accepté de répondre à votre question :
Concernant l’utilisation du TROD sérologique COVID, cet outil de dépistage rapide a été développé pour dépister une infection ancienne non diagnostiquée en pré-vaccination.
La réactivité du TROD dépend donc, selon le TROD utilisé, de l’avidité des anticorps anti-S +/- des anticorps anti-N (qui eux ne sont présents qu’en post-infection !).
Il n’y a toujours aucune recommandation à utiliser en population générale un test sanguin sérologique après une vaccination car toujours aucun seuil standardisé définissant une protection post-vaccinale et donc encore moins à utiliser un outil comme le TROD sérologique qui n’a pas été développé pour cela !
Pour signaler en quelques clics tout évènement indésirable :
signalement.social-sante.gouv
(24/07/2021 – Source : ARS)
Vous participez depuis plusieurs mois à la vaste campagne de vaccination régionale mise en place auprès de la population depuis fin décembre 2020. Aucun des vaccins proposés à ce jour en France n’est cependant efficace à 100% et la protection acquise par le vaccin à long terme n’est pas connue à ce stade.
L’analyse des situations d’inefficacité vaccinale s’avère donc indispensable afin de repérer et documenter l’émergence éventuelle d’un variant ou d’une mutation d’intérêt à l’origine d’un échappement immunitaire.
L’ARS Hauts-de-France souhaite vous apporter des précisions sur les différentes situations existantes, et notamment celles pour lesquelles une action de signalement est demandée.
N’hésitez pas à signaler dans le circuit de pharmacovigilance (www.signalement.social-sante.gouv.fr, également accessible dans VACCIN-COVID), pour l’ensemble des vaccins :
Pour les patients ayant un schéma hétérologue : 14 jours suivant l’injection de la dose de rappel effectuée avec un vaccin ARNm (Moderna ou Comirnaty) chez un patient ayant bénéficié d’une première dose vaccinale par Vaxzevria.
Un regroupement (ou cluster) de cas d’échecs vaccinaux correspond à la survenue d’au moins 3 cas d’échecs vaccinaux répondant strictement à la définition ci-dessus au sein d’un même lieu ou d’une même unité de vie durant un même épisode de circulation virale.
En cas de doute n’hésitez pas à contacter l’ARS ARS-HDF-SIGNAL@ars.sante.fr.
(13/06/2021 – Source : Conseil d’Orientation Scientifique de la stratégie vaccinale)
Ces recommandations s’inspirent de celles formulées par le CDC américain4 .
Une organisation rigoureuse devra être mise en place par le centre de vaccination pour suivre les personnes concernées par un incident vaccinal donné, car toutes ces personnes n’auront pas leur second rendez-vous le même jour. Il faudra notamment communiquer efficacement avec les personnes concernées, via l’envoi de SMS ou courriers.
2 Walsh et al., Safety and Immunogenicity of Two RNA-Based Covid-19 Vaccine Candidates, December 17, 2020 N Engl J Med 2020; 383:2439-2450 DOI: 10.1056/NEJMoa2027906
3 Cette exception s’appuie sur le rationnel détaillé dans l’avis du COSV du 6 avril 2021 concernant les personnes sévèrement immunodéprimées pour lesquelles la vaccination est moins efficace, ce qui justifie l’administration d’une troisième dose de vaccin. https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/avis_du_cosv_6_avril_2021pdf.pdf
4 CDC, Covid-19 Vaccines Errors and Deviations https://www.cdc.gov/vaccines/covid-19/downloads/covid19-vaccine-errors-deviations.pdf
Depuis le 14 mars, le « pass vaccinal » est suspendu jusqu’à nouvel ordre dans tous les endroits où il était exigé (lieux de loisirs et de culture, activités de restauration commerciales, foires et salons professionnels…).
Le « pass sanitaire » reste toutefois en vigueur dans les établissements de santé et lieux de soins.
Le passe sanitaire consiste à présenter, au format numérique (via « Mon carnet » de l’application TousAntiCovid) ou papier, l’une de ces preuves sanitaires suivantes :
Le pass vaccinal ou pass sanitaire restent utiles pour partir à l’étranger : pour les trajets internationaux, les voyageurs doivent toujours se conformer aux règles du pays de destination. Les conditions d’entrée pays par pays sont détaillées sur le site diplomatie.gouv. Le certificat européen reste aussi en vigueur pour voyager en Union européenne.
(05/03/2022 – Source : ARS Hauts-de-France)
Suite au dernier webinaire sur la vaccination, les Drs Hulin et Huleux ont actualisé le tableau de protocoles de vaccination et équivalent Pass.
N’hésitez pas à consulter le site internet ARS et sa page dédiée aux professionnels de santé.
Consulter la page « Avant la vaccination«
(19/02/22 – Sources : Ministère et ARS)
Depuis le 15 février 2022, les règles relatives au « pass vaccinal » ont évolué pour les personnes âgées de plus de 18 ans et 1 mois : la dose de rappel doit être réalisée dès trois mois après la fin de son schéma vaccinal initial et dans un délai de quatre mois maximum : la personne aura donc 1 mois pour réaliser son rappel.
De la même manière, une personne non vaccinée disposant d’un certificat de rétablissement sera éligible à la vaccination dès 2 mois après son infection et devra effectuer sa vaccination dans un délai maximum de 4 mois : la personne aura donc 2 mois pour réaliser sa primo-vaccination.
Le DGS urgent du 16/02 vient préciser les conditions d’équivalence infection/injection :
Afin de bénéficier d’un certificat de vaccination valide, le système immunitaire de la personne doit avoir été stimulé au moins trois fois (par une ou plusieurs injections de vaccin et/ou infections) avec au minimum une dose de vaccin administrée dans le cadre de la primo-vaccination donc 3 stimulations dont au moins 1 injection. Les personnes qui ont été infectées trois fois et qui n’ont reçu aucune dose de vaccin ne pourront pas bénéficier d’un pass valide au-delà de la durée du dernier certificat de rétablissement.
Schéma de primo-vaccination
Un schéma complet de primo-vaccination demeure nécessaire, c’est-à-dire :
Schéma de rappel
L’avis du COSV du 13 janvier 2022 précise que la survenue d’un épisode infectieux provoque une réponse immunitaire au moins équivalente à celle que provoque un rappel vaccinal, si l’infection est survenue plus de 3 mois après le schéma vaccinal initial. Dans le cas où une infection intervient moins de 3 mois après le schéma de primo-vaccination, le COSV estime que sur le plan immunologique, l’infection est trop rapprochée pour avoir un effet similaire à celui d’un rappel vaccinal. De plus, une infection intervenant aussi rapidement après la seconde dose pourrait suggérer un échec vaccinal pour le sujet infecté.
Dès lors, l’équivalence infection = injection s’applique dans le cadre du schéma de rappel, uniquement si l’infection est survenue plus de 3 mois après le schéma vaccinal initial.
S’agissant du pass « frontières », les Français souhaitant voyager devront réaliser une dose de rappel si le pays l’exige, et ce dans un délai de 9 mois après leur dernière injection. Dans le cas contraire, il convient pour les personnes infectées moins de 3 mois après le schéma vaccinal initial de procéder à leur rappel vaccinal dans les délais recommandés.
(19/02/22 – Source : Ministère)
Par DGS Urgent du 16/02, il est confirmé que toute personne ayant un cycle vaccinal initial complet et étant testée positive par RT-PCR ou TAg au Covid-19 plus de 3 mois après sa dernière injection, peut disposer d’une preuve de rétablissement sans date de fin de validité.
Le certificat de rétablissement doit ainsi contenir comme information que le patient a un cycle vaccinal initial complet afin de disposer de la même validité qu’une dose de rappel. La collecte du statut vaccinal n’est, dans un premier temps, possible que par saisie dans le portail SI-DEP uniquement.
Dans un second temps, la saisie du statut vaccinal sera déployée dans les systèmes d’information des laboratoires ainsi que des logiciels compatibles avec SI-DEP.
Pour indiquer l’information de cycle vaccinal initial complet (voir tableau ci-dessous) dans le certificat de rétablissement, les professionnels de santé autorisés à réaliser des tests de dépistage au Covid-19 doivent vérifier le statut vaccinal à l’aide de l’application TAC Verif+.
Puis, lors de la saisie des informations dans SI-DEP, le statut vaccinal doit être renseigné par la mention totalement vacciné, soit « TV – à calculer selon la date d’injection » dans le champ « Statut vaccinal ».
Ce champ est ajouté dans la partie « Autres informations ».
En résumé, les étapes à suivre pour l’effecteur de dépistage sont les suivantes :
Si la mention « TV » n’est pas remplie, le certificat de test positif aura une durée de validité de 4 mois.
Si la dernière injection a été effectuée il y a moins de 3 mois, le patient n’est pas éligible au certificat de rétablissement sans date de fin de validité.
Si vous êtes en difficulté avec l’outil, contact@tousanticovid.gouv.fr ou 0800 087 148.
(12/02/22 – Source : Ministère)
Lors de son webinaire à destination des représentants des professionnels de santé du 11/02, un point a été fait sur l’encodage 2/1 des certificats de vaccination.
(27/01/22 – Mise à jour 05/02/2022 – Source : Ministère)
Afin d’inciter les personnes non vaccinées à entamer un cycle de vaccination, depuis le 24 janvier 2022, les personnes de 16 ans ou plus ayant reçu une première injection d’un cycle vaccinal à deux injections peuvent utiliser un test antigénique ou RT-PCR négatif de moins de 24h dans le cadre du passe vaccinal sur le territoire français. Ce système dérogatoire vaut pour toute première injection réalisée avant le 15 février et durant les 28 jours de délai avant la deuxième injection.
Pour ce faire, les professionnels de santé autorisés à réaliser des tests doivent suivre les étapes suivantes :
Si la mention « Dérogation accordée suite à une première injection » n’est pas remplie, le test négatif de moins de 24h ne sera pas considéré comme valide lors du contrôle du passe vaccinal de votre patient.
Le régime de prise en charge des tests par l’Assurance Maladie définit par l’article 24 de l’arrêté du 14 octobre 2021 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021 ne change pas. Ainsi, les tests restent gratuits pour les enfants de 12 à 15 ans qui réalisent des tests pour obtenir un passe sanitaire mais demeurent payants pour les personnes qui souhaitent un test après une première injection pour obtenir un passe vaccinal, à l’exception des mineurs (16-17 ans) pour lesquels ils restent gratuits.
(29/01/2022 – Source : Ministère)
Les personnes qui ont reçu une dose de vaccin avant ou après une infection au Covid-19 puis une dose de rappel avant le 1er février 2022 doivent mettre à jour, à partir de cette date, leur attestation de vaccination pour garder un pass vaccinal valide.
Cette démarche est rendue obligatoire par une évolution réglementaire au niveau européen. Jusqu’au 1er février 2022, l’attestation de vaccination comporte la mention 2/2 devant l’indication « Nombre dans une série de vaccins/doses ». Cette mention ne permet pas de savoir si la personne a bien reçu sa dose de rappel. En conséquence : le pass vaccinal a une durée limitée.
À partir du 1er février 2022, l’attestation de vaccination comportera la mention 2/1 pour indiquer qu’une injection a été faite dans le cadre de la vaccination initiale et qu’une injection a été faite dans le cadre du rappel. En conséquence : le pass vaccinal a une validité permanente.
Si l’actualisation de l’attestation de vaccination n’est pas faite, la durée du pass vaccinal sera limitée à :
Pour actualiser son attestation de vaccination, il suffit simplement d’en télécharger une nouvelle version depuis le téléservice https://attestation-vaccin.ameli.fr/.
Des difficultés à utiliser le téléservice ? Dans ce cas, il est possible de se rendre dans une pharmacie ou de profiter d’une consultation chez son médecin traitant pour demander l’impression de son attestation.
Le professionnel de santé remet systématiquement à la personne vaccinée une attestation de vaccination au format papier. Muni de ce document, il faut :
L’application mobile TousAntiCovid est téléchargeable gratuitement sur AppStore ou Google Play Store.
La démarche sera différente notamment pour les Français vivant à l’étranger et les étudiants étrangers qui ont fait réalisé leur vaccination initiale à une dose puis une dose de rappel à l’étranger.
Pour faire la demande de conversion d’un certificat de vaccination étranger en pass vaccinal français, il convient de remplir ce formulaire de demande en ligne. Pour les étudiants étrangers, c’est ce formulaire qu’il convient d’utiliser.
Aucune démarche à faire pour ceux qui font leur rappel à partir du 1er février 2022
Pour les personnes bénéficiant d’un schéma vaccinal initial à 1 dose pour cause d’infection au Covid-19 et qui font leur rappel après le 1er février : aucune démarche n’est à réaliser. L’attestation remise comportera la mention 2/1 permettant de bénéficier d’un pass vaccinal valide sans limite dans le temps.
(04/07/2021 – Source : Assurance Maladie)
L’attestation de vaccination certifiée remise par le professionnel de santé lors de l’injection du vaccin contre la Covid-19 est désormais disponible au format européen et en version bilingue (français et anglais). L’attestation de vaccination certifiée au format européen permet de voyager au sein de l’Union européenne (UE) à partir du 1er juillet 2021.
Les professionnels de santé qui vaccinent remettent depuis le 25 juin à la personne vaccinée deux documents :
Les personnes ayant un schéma vaccinal terminé peuvent se rendre sur le téléservice à partir de l’adresse https://attestation-vaccin.ameli.fr afin de télécharger l’attestation aux normes européennes. Le téléservice est accessible sur ordinateur, tablette et smartphone.
Pour ce faire, les utilisateurs devront s’identifier avec FranceConnect, dispositif déjà utilisé par de nombreux services publics en ligne.
L’attestation émise peut être ensuite téléchargée et, au besoin, imprimée. Elle dispose également d’un QR code à scanner, qui permet d’intégrer le certificat dans l’application TousAntiCovid.
Les personnes qui possèdent un compte ameli pourront également obtenir leur attestation dans leur espace personnel.
Fin juin 2021, les assurés qui voudront voyager et qui auront un cycle vaccinal terminé devront télécharger l’attestation de vaccination au format européen à partir du téléservice.
Les patients avec un cycle vaccinal complet et qui ont enregistré avant le 25 juin leur attestation dans l’application TousAntiCovid n’ont pas besoin de s’en procurer une nouvelle : à partir du 1er juillet, TousAntiCovid sera doté d’une fonctionnalité permettant de convertir automatiquement leur QRcode à la norme européenne.
Les patients dont l’enfant mineur a terminé son cycle de vaccination avant le 25 juin pourront télécharger l’attestation de leur enfant depuis le téléservice de l’Assurance Maladie d’ici mi-juillet.
Les patients ne maîtrisant pas les outils numériques ou n’y ayant pas accès peuvent demander leur attestation au professionnel les ayant vaccinées ou, à défaut, la récupérer à l’occasion d’une consultation chez leur médecin traitant, infirmier ou sage-femme. Ils peuvent également se la procurer en pharmacie.
Pour se la procurer en ligne, ils peuvent aussi se faire aider en se rendant dans un des 1 300 espaces France services près de chez elles.
(15/01/2022 – Mise à jour 02/04/2022 – Source : Gouvernement)
La quatrième dose de vaccin est ouverte aux personnes immunodéprimées et aux plus de 80 ans ayant reçu leur dose de rappel depuis plus de trois mois.
Le délai de la dose de rappel est ramené à trois mois après la dernière injection ou la dernière infection au Covid-19.
Le rappel vaccinal est ouvert à toutes les personnes de 18 ans et plus, et depuis le 24 janvier, il l’est à tous les adolescents de 12 à 17 ans sans obligation.
La vaccination est ouverte à tous les enfants de 5-11 ans et requiert l’accord de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale.
Pour toutes questions relatives au pass vaccinal, il est possible de joindre le 0 800 087 148.
Un numéro vert du gouvernement est également à votre disposition pour répondre à vos questions sur le Covid-19 : 0 800 130 000.
Ces numéros sont joignables 24h/24 et 7j/7.
Un espace de contact ouvert est dédié aux personnes sourdes, malentendantes ou aveugles : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/espace-handicap.
(15/01/2022 – Mise à jour 26/03/2022) – Source : Gouvernement)
Le certificat de rétablissement est l’une des preuves qui permet d’avoir un « pass sanitaire » valide. Il prouve que vous avez été testé positif au Covid-19 : c’est le résultat positif de ce test RT-PCR ou antigénique. Ce résultat doit dater de plus de 11 jours et de moins de 4 mois.
Un autotest ne permet pas d’avoir un certificat de rétablissement.
Ainsi, les personnes qui ont été testées positives au Covid-19 avant d’avoir pu recevoir leur dose de rappel peuvent utiliser leur certificat de rétablissement pour que leur « pass sanitaire » reste valide en attendant de faire leur dose de rappel. Il est néanmoins recommandé de faire sa dose de rappel dès 3 mois après l’infection.
Les patients peuvent récupérer leur certificat de rétablissement/résultat de test positif, soit sur la plateforme SI-DEP (sidep.gouv.fr) grâce au lien envoyé par e-mail et/ou par SMS, soit directement auprès d’un laboratoire de biologie médicale ou d’un professionnel de santé habilité à réaliser des tests. Il est ensuite possible, soit de conserver la version papier, soit d’intégrer le certificat de rétablissement dans le « Carnet » de l’application TousAntiCovid en scannant le QR code ou en l’important directement depuis la plateforme SI-DEP via le lien dédié.
Ce n’est pas au médecin traitant de rédiger ce certificat de rétablissement.
Le certificat de rétablissement peut également être utilisé dans le cadre de vos voyages à l’étranger en fonction des règles qui s’appliquent dans chaque pays. Il faut alors que votre résultat de test positif au Covid-19 soit issu d’un test RT-PCR. Le résultat d’un test antigénique n’est pas reconnu aux frontières.
(21/11/2021 – Source : Conseil National de l’Ordre des Médecins)
Sur notre sollicitation, voici la réponse du Conseil National de l’Ordre des Médecins :
La Loi n° 2021/1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire ne prévoit pas l’application du pass sanitaire pour l’accès des patients à un cabinet médical.
Le Pass sanitaire ne peut donc être exigé pour l’accès des patients à un cabinet médical quel que soit le type d’exercice.
La même règle s’applique pour l’accès aux cabinets médicaux libéraux situés dans des établissements de santé sur présentation d’une preuve de rendez-vous.
L’accès aux soins doit être garanti et aucun patient ne doit se voir refuser l’accès un établissement de santé sans qu’un médecin, de préférence celui qui devait le recevoir, n’ait donné son accord à un report de soins.
Le fait d’exiger un pass sanitaire lorsqu’il n’est pas prévu par la Loi peut être puni d’un an d’emprisonnement et de 45€ d’amende.
Le patient ne doit enlever son masque que pendant la durée de l’examen le nécessitant.
Cependant, si l’examen paraclinique est programmé, il est possible au médecin de prescrire un test de dépistage de la Covid-19 à réaliser dans les 72 heures précédant la date de l’intervention. La date de l’examen doit figurer sur l’ordonnance (arrêté du 1er juin 2021 modifié prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire article 24 l 2°).
(24/07/2021)
Depuis quelques jours émergent des fraudes organisées pour l’émission de faux passeports vaccinaux, ainsi que de faux « pass » sanitaires et QR codes.
L’Assurance Maladie, ARS, l’Ordre des Médecins et l’URPS Médecins ont donc élaboré un communiqué rappelant que le faux et l’usage de faux sont constitutifs d’un délit. Les personnes auteurs de ce délit (fabricants comme utilisateurs) encourent une peine de trois ans d’emprisonnement ainsi qu’une amende de 45 000 €, conformément aux dispositions de l’article 441-1 du Code pénal.
Les sanctions peuvent être alourdies si la personne utilise un faux certificat tout en se sachant positive au Covid-19.
Sur le plan déontologique, les professionnels de santé devraient s’en expliquer devant leurs Ordres et risquent une sanction pouvant conduire à la radiation. Un médecin serait poursuivi par l’Ordre pour infraction au code de la santé publique (CSP) notamment aux articles R. 4127-3 (moralité) R. 4127-28 (certificat de complaisance) R. 4127-31 (déconsidération de la profession) R. 4127-76 (rédaction d’un faux certificat).
En cas de sanction devenue définitive d’interdiction de donner des soins aux assurés sociaux, ou de peine effective d’emprisonnement, le médecin se trouverait placé de fait et simultanément hors de la convention médicale, à partir de la date d’application de la sanction ordinale ou judiciaire ou de la mesure de liquidation judiciaire, et pour la même durée. La mise hors champ de la convention de trois mois ou plus, entraîne la suppression de la participation des caisses aux avantages sociaux pour une durée égale (article 86 et 89 de la convention des médecins de 2016).
Par ailleurs, des documents destinés à répandre de fausses informations à propos des vaccins contre le Covid-19 circulent également.
A ce titre, il est rappelé que la publicité pour un médicament ou un produit pharmaceutique (définie à l’article L5122-1 du CSP) « ne doit pas être trompeuse ni porter atteinte à la protection de la santé publique. Elle doit présenter le médicament ou produit de façon objective afin de favoriser son bon usage et respecter les dispositions de l’autorisation de mise sur le marché ainsi que les stratégies thérapeutiques recommandées par la Haute Autorité de Santé » (article L5122-2 et article L 5122-6 du CSP).
L’article L5122-8 du CSP précise que la publicité pour un médicament ou un vaccin auprès du public doit préalablement faire l’objet d’une autorisation par l’ANSM nommé visa de publicité. Le non-respect de ces articles est puni d’un an d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende (article L5422-5 et article L5422-6 du CSP).
En l’espèce, le fait, pour des professionnels de santé de distribuer des tracts à des particuliers ou de communiquer des informations trompeuses ou contraires aux recommandations de la HAS notamment sur Internet est constitutif du même délit.
Enfin, si vous faisiez l’objet de pressions ou de menaces de la part de patients pour obtenir des documents falsifiés, vous êtes invité.e à contacter votre Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins dans lequel vous êtes inscrit afin de signaler ces faits graves et d’envoyer une déclaration d’incident (voir formulaire dans le communiqué ou le télécharger ici).
(04/07/2021 – Mise à jour 17/07/2021 – Source : Ministère – COSV)
(17/07/2021)
Dans son avis du 15/07 relatif au délai nécessaire à l’obtention d’une protection au décours de l’administration de deux doses de vaccins à ARNm anti-spike-CoV-2, le Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale (COSV) annonce que les études cliniques indiquent tant pour le vaccin Pfizer-BioNtech que le vaccin Moderna, qu’un très haut niveau de protection clinique est observée dès 7 jours après administration de la seconde dose. Cela est illustré dans les courbes des cas cumulés d’infection comparées à celles des groupes placebo dans les études de phase 3 ou au groupe contrôle dans les études en vie réelle.
Cette observation est valable tant pour la protection contre l’infection que contre le risque d’infections graves (hospitalisation,réanimation, décès) et très vraisemblablement contre le risque de transmission (cf. étude Dagan N. et al, citée plus haut).
De plus les titres d’anticorps anti S (spike) atteints par les sujets vaccinés sont très élevés dès J7 post seconde dose (début du pic de la réponse), même si on sait qu’il n’a pas, à ce jour, été établi de corrélations formelles entre protection clinique et titre d’anticorps.
En conséquence, le COSV considère que le schéma vaccinal peut être réputé complet dès 7 jours après administration de la seconde dose.
(04/07/2021)
(20/06/2021 – Actualisation 11/07/2021 – Source : Assurance Maladie)
Afin d’assurer la traçabilité des vaccins et des étapes de la vaccination, l’outil « Vaccin Covid » doit être renseigné pour chaque injection de vaccin contre la Covid-19. Ce sont les informations renseignées dans Vaccin Covid qui permettent ensuite aux personnes vaccinées de retrouver leur attestation dans le téléservice https://attestation-vaccin.ameli.fr.
Important : fin juin les assurés qui voudront voyager et qui auront un cycle vaccinal terminé devront télécharger l’attestation de vaccination au format européen à partir de ce téléservice.
L’Assurance Maladie met à la disposition des professionnels de santé (PS) qui utilisent Vaccin Covid une foire aux questions (FAQ) régulièrement mise à jour. L’objectif : les guider dans la saisie des informations dans Vaccin Covid dont dépend directement la conformité de l’attestation de vaccination. En pratique, la FAQ est organisée selon les thématiques suivantes :
Retrouver également les informations sur :
Des difficultés avec Vaccin Covid : https://www.urpsml-hdf.fr/coronavirus-covid-19-numeros/
Nouvelle version du téléservice « SI Vaccin Covid » depuis le 29/06
Depuis le 29/06 est disponible la nouvelle version du téléservice de » SI VACCIN COVID « , qui permet à présent :
Vous trouverez en téléchargement le guide utilisateur actualisé au 29/06.
(27/06/2021 – Source : Assurance Maladie)
Pour enregistrer le schéma vaccinal complet avec une seule dose dans le logiciel Vaccin Covid (hors vaccin Janssen pour lequel la procédure habituelle est requise), il convient :
(14/05/2021 – Source : Assurance Maladie)
Les autorités sanitaires préconisent une troisième injection de vaccin contre la Covid-19 pour les personnes suivantes (https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/avis_du_cosv_6_avril_2021pdf.pdf) :
Avec l’indication récente d’une 3ème dose de vaccin pour les patients fragiles, l’outil de traçabilité de la vaccination Vaccin Covid doit évoluer pour permettre la traçabilité de cette dose supplémentaire. Cette évolution sera déployée courant juin.
Dans l’attente les centres de vaccination ou le professionnel de santé devront remplir la fiche dénommée « SAISIE DIFFEREE – VACCIN COVID – 3ème dose vaccin contre la Covid » (https://www.ameli.fr/sites/default/files/Documents/746865/document/fiche-3e-dose-saisie-differee-vaccin-covid.pdf)
La fiche est en deux parties :
(04/05/2021 – Source : Assurance Maladie)
Depuis le 3 mai, le professionnel de santé peut remettre une attestation de vaccination dite « certifiée » au format papier à son patient.
Cette attestation de vaccination contre la Covid-19 est disponible depuis le téléservice Vaccin Covid, à partir duquel le professionnel de santé pouvait déjà télécharger une synthèse vaccinale à remettre au patient.
L’attestation de vaccination contient en clair les seules données suivantes : identification de la personne vaccinée, nom du vaccin pour la dernière injection, date de la dernière injection et statut vaccinal.
Elle comporte aussi 2 cachets électroniques visibles :
Cette attestation est à remettre aux patients en plus de la synthèse de vaccination. Elle est appelée à évoluer pour s’adapter aux normes européennes, afin de faciliter la circulation des citoyens européens sur le territoire de l’Union.
Dans la seconde quinzaine de mai, le patient vacciné pourra aussi récupérer cette attestation de manière autonome et sécurisée à partir d’un téléservice en cours de développement par l’Assurance Maladie. Pour les personnes qui ne maîtrisent pas les outils numériques ou qui n’y ont pas accès, l’Assurance Maladie pourra adresser par courrier leur attestation de vaccination certifiée.
(02/05/2021)
Vous êtes nombreux à nous faire remonter votre impossibilité de modifier sur vaccin covid : la 3èmedose, le changement de vaccin avec passage de l’Astra au Pfizer par exemple, ou encore le fait d’avoir un schéma vaccinal complet à 1 dose si antécédent de covid.
Pour l’instant, seul le professionnel ayant participé au parcours vaccination de la personne peut modifier une saisie.
Nous interpellons régulièrement l’Assurance Maladie et l’ARS sur ce sujet qui vous bloque au quotidien et présage un temps de saisie à venir pour rattraper ces situations dans l’applicatif.
Des évolutions sont annoncées prochainement mais nous n’avons pas à ce jour, de date validée d’évolution. Nous ne manquerons pas de les relancer et de vous informer dès que ces possibilités seront ouvertes.
(04/02/2021 – Source : DGS)
La qualité des données sur les personnes vaccinées remontées dans le système d’information Vaccin Covid constitue un enjeu majeur en termes de pharmacovigilance, de suivi de la couverture vaccinale et de traçabilité des lots de vaccins administrés.
Pour les structures qui n’auraient pas renseigné dans Vaccin Covid tous les actes de vaccination réalisés jusqu’à cette date, nous rappelons la possibilité et la nécessité de les intégrer de façon rétroactive pour permettre une exhaustivité des données. Cet impératif concerne toutes les personnes vaccinées, quel que soit leur profil par rapport à la cible vaccinale. Il doit être appliqué y compris pour les injections réalisées en début de campagne qui n’auraient pas encore été saisies dans l’outil Vaccin Covid.
En outre, lorsque les informations relatives à la première injection n’ont pas été saisies dans vaccin Covid, il est demandé de procéder à une régularisation lors de la seconde injection en intégrant également les données relatives à la première injection (en inscrivant bien la date de la première injection).
Enfin, grâce à une évolution de l’outil en date du 28 janvier, Vaccin Covid comporte désormais une case à cocher pour indiquer si la personne est un professionnel de santé, en distinguant plusieurs catégories. Il est essentiel que cette information soit saisie y compris pour les secondes injections des personnes ayant reçu une première injection avant le 28 janvier.
L’ensemble de ces données sont essentielles pour assurer une traçabilité du parcours vaccinal.
Pour toute question sur Vaccin Covid, les établissements, les centres de vaccination et les professionnels de santé salariés peuvent également contacter la ligne dédiée au 0 800 08 12 07 du lundi au vendredi (9h à 20h, service et appel gratuits). Les professionnels de santé libéraux peuvent contacter le 3608 (service gratuit + prix de l’appel).
Plus d’informations sur Vaccin Covid et les modalités de support en cas de difficulté sont disponibles ici : https://www.ameli.fr/paris/medecin/actualites/vaccination-contre-la-covid-19-le-point-sur-le-teleservice-vaccin-covid
(28/01/2021 – Source : Assurance Maladie)
Lors d’un enregistrement sur le téléservice Vaccin covid, un médecin a commis un impair en cochant la case « Pfizer ».
Lors de l’impression, ce médecin s’est aperçu que cela indiquait une contre-indication à ce vaccin et non le nom du vaccin qui allait être livré à l’EHPAD.
L’Assurance Maladie a ainsi fait la réponse suivante (en date du 26/01/2021) :
Dès lors que le médecin a validé, il ne peut plus revenir en arrière.
Ci-dessous une capture d’écran.
Il n’y a pas d’alerte dans la mesure où plusieurs vaccins seront possibles (pfizer aujourd’hui et moderna bientôt). Un seul des vaccins pouvant être contre indiqué pour le patient et pour autant il sera éligible à la vaccination.
Cette case n’est pas bloquante pour effectuer la vaccination dès lors que la case « éligibilité » a été cochée indiquant que le patient accepte d’entrer dans le processus de vaccination mais effectivement il faut informer l’EHPAD.
(28/01/2021 – Source : Assurance Maladie)
Sur les signalements de médecins de centres de vaccination qui sembleraient avoir des difficultés à saisir les vaccinations dans Vaccin Covid, les médecins peuvent alerter leur CPAM.
En effet, les CPAM réalisent des accompagnements personnalisés pour s’assurer de l’utilisation de Vaccin covid. Un accompagnement pourrait donc être programmé grâce à votre information.
(06/01/2021 – Source : Assurance Maladie)
Suite à l’interrogation de plusieurs d’entre vous, vous pouvez avoir accès au téléservice vaccin covid en vous rendant sur amelipro et en cliquant sur vaccin covid. Ce n’est donc pas SIVAC qu’il faut rechercher.
Le lien suivant https://www.ameli.fr/paris/medecin/actualites/vaccination-contre-la-covid-19-le-point-sur-le-teleservice-vaccin-covid donne les éléments sur le téléservice vaccin covid avec les différents supports et tutoriels.
Pour rappel, il sera facilitant de mettre en route votre e-CPS avant de débuter les vaccinations.
(31/12/2020 – Source : Assurance Maladie)
Afin d’assurer la traçabilité des vaccins et des étapes de la vaccination, de la consultation pré-vaccinale aux injections du vaccin, un téléservice baptisé « Vaccin Covid » sera ouvert à partir du 4 janvier 2021. Son utilisation est obligatoire pour assurer le bon déroulement et le bon suivi de la campagne de vaccination.
Ce téléservice Vaccin Covid prévoit des fonctionnalités facilitant le suivi de la vaccination :
Un tutoriel de vaccin Covid est mis à la disposition des médecins. Il présente les écrans de ce nouveau téléservice.
L’Assurance maladie a apporté certaines précisions quant à son fonctionnement :
Vaccin Covid sera accessible par tous les médecins, soit via l’espace amelipro par carte CPS, soit par ProSanteConnect par carte CPS ou e-CPS. La saisie des informations strictement nécessaires à la vaccination de leurs patients a été simplifiée et la majorité des champs est pré-remplie.
Il est demandé aux médecins réalisant les consultations pré-vaccinales et les vaccinations de vérifier avant le début de la campagne de vaccination qu’au moins un de ces accès est fonctionnel.
Si ce n’est pas le cas, il est nécessaire de :
Les médecins trouveront toute la documentation utile dans le tutoriel de création de la e-CPS.
En cas de difficultés, ils peuvent également contacter le support téléphonique des cartes CPS : 0 825 852 000 (0,06 euros / min).
Les conseillers informatique service (CIS) de l’Assurance Maladie contactent actuellement les Ehpad et les USLD pour vérifier leurs accès au téléservice Vaccin Covid par carte CPS ou e-CPS.
Pour toute question concernant la facturation, l’utilisation d’amelipro ou tout autre sujet administratif ou médical, le professionnel de santé peut contacter l’Assurance Maladie au 3608 (service gratuit + prix de l’appel).
Consultez la page Personnes vulnérables
(20/06/2021 – Source : HCSP)
Après prise en compte des données épidémiologiques, de couverture vaccinale, de circulation des variants, d’efficacité vaccinale, le HCSP recommande :
Enfin, il n’est pas possible, à ce stade, de définir un seuil de couverture vaccinale de la population au-delà duquel pourraient être systématiquement levées ou allégées les mesures de prévention de la transmission du SARS-CoV-2.